Paillage économique et respectueux de l’environnement

Le minimum que l’on puisse demander à un paillis est qu’il protège et permette le développement de la microfaune du sol (notamment les vers de terre), qu’il retienne l’humidité, qu’il protège des pluies battantes, qu’il isole du froid et de la chaleur, qu’il enrichisse la terre et qu’il évite le développement des « mauvaises herbes ».

De nombreux paillis remplissent ses critères mais si on élimine tous les paillis qui polluent ou coûtent chère (paillettes de lin, de chanvres, coques de cacao...), il ne reste plus grand-chose finalement.

Le choix qui s’offre aux jardiniers est donc assez restreint, il reste :

. La paille, l’un des premiers matériaux utilisés
. Le compost à demi mûr provenant du recyclage des déchets

. Les copeaux de bois
. Le broyat de rameaux de feuillus (BRF)
. Les aiguilles de pins pour les plantes de terre acide
. Les tontes de gazon (peut brûler les plantes)
. Les feuilles mortes à associer avec du compost pour les maintenir au sol